Et si le nazisme avait aussi été une affaire de drogues ?

De la Blitzkrieg sous méthamphétamines à Hitler perfusé quotidiennement, découvrez l’histoire cachée d’un régime sous influence.

On connaît le IIIᵉ Reich pour son idéologie, sa violence et sa mécanique totalitaire. On ignore souvent qu’il fut aussi un régime profondément… chimique.

Derrière la Blitzkrieg, il y a des soldats maintenus éveillés pendant des jours par des amphétamines. Derrière les discours d’Hitler, un corps affaibli, dépendant d’injections quotidiennes. Derrière la propagande de la force et de la pureté, une société dopée à la performance, au rendement et à l’endurance artificielle.

Cette conférence propose une plongée saisissante dans une histoire longtemps passée sous silence : celle d’un pouvoir qui a utilisé la chimie comme outil politique, militaire et psychologique. Des champs de bataille aux laboratoires clandestins, du cabinet médical du Führer aux expérimentations sur des cobayes humains, se dessine un Reich tenu debout autant par les seringues que par les slogans.

Au-delà du cas nazi, cette réflexion interroge notre rapport moderne à la performance, à la fatigue et à la médicalisation du quotidien. Jusqu’où peut-on aller pour « tenir » ? Que reste-t-il du libre arbitre quand la chimie prend le relais de la volonté ?

Une conférence dérangeante, rigoureuse et accessible, pour comprendre comment un régime a pu s’autodétruire… sous influence.